• Interdiction contractuelle d'emploi supplémentaire après la modification du Code du travail
    La recevabilité d'une interdiction contractuelle ou autre limitation à l'exercice d'un emploi complémentaire par un salarié, non compétitif par rapport à l'employeur, doit être réexaminée après la modification du Code du travail introduite par la loi du 9 mars 2023 modifiant la loi - Travail. Code et modifiant certains autres actes (Journal officiel, article 641), précédés de l'entrée en vigueur de la directive (UE) 2019/1152 du Parlement européen et du Conseil du 20 juin 2019 relative à des conditions de travail transparentes et prévisibles dans l'Union européenne (JO L 186, p. 105) Contenu de la nouvelle disposition introduite à l'art. 261 du Code du travail ne conduit pas à des conclusions claires, ce qui oblige à recourir à des méthodes d'interprétation non linguistiques. À la lumière de ses résultats, le législateur a exclu la compétence des parties de conclure un accord interdisant un emploi supplémentaire, ce qui, de l'avis de l'auteur, constitue une limitation excessive de la liberté de définir le contenu de la relation de travail.
  • Licenciement du travail pour force majeure
    Les dispositions ajoutées au Code du travail à la suite de l'amendement de cette année comprennent une réglementation concernant le licenciement pour cause de force majeure. L'auteur analyse cette réglementation en s'intéressant notamment aux prémisses et aux principes d'octroi de cette exonération, ainsi qu'à sa portée. Il indique également les erreurs du législateur pouvant affecter l'application de la nouvelle disposition.
  • Tous les droits parentaux ne sont pas accordés aux policiers
    La modification du Code du travail du 9 mars 2023 et de certaines autres lois (Journal des lois de 2023, article 641) a introduit des changements importants dans l'étendue des droits parentaux non seulement à l'égard des employés, mais également des officiers des services en uniforme et des militaires de carrière. . L'article analyse les nouvelles réglementations concernant les droits parentaux des policiers. Tous les droits parentaux dont disposent les employés ne s'appliquent pas aux policiers. La loi sur la police exclut expressément la possibilité de recourir à l'institution du temps de service réduit pendant la période pendant laquelle un policier a le droit de lui accorder un congé parental (article 1867 du Code du travail) et de demander une organisation flexible du service (article 1881 du Code du travail). le Code de procédure pénale). En outre, il existe des restrictions résultant d'autres dispositions de la loi sur la police, qui affectent la possibilité d'appliquer certaines dispositions du Code du travail dans le domaine des droits parentaux, par ex. utilisation simultanée du congé parental par les parents.
  • Évaluation du risque professionnel sur un poste de travail à distance à la lumière des évolutions du Code du travail
    L'article présente les enjeux de réglementation concernant l'évaluation des risques professionnels lors du travail à distance et du travail à distance occasionnel dans le cadre de la modification du Code du travail. L'étude présente les aspects théoriques et pratiques de l'identification des dangers et de l'évaluation des risques professionnels liés au travail à distance.
  • Droits de protection accordés aux citoyens ukrainiens résidant en Pologne après le 24 février 2022 (partie II)
    La deuxième partie de l'article est consacrée à l'analyse de solutions normatives spécifiques récemment introduites dans le système juridique polonais afin que les autorités polonaises puissent fournir une aide sociale aux réfugiés de guerre du territoire ukrainien.
  • La procédure de retrait de l'attestation A1 et l'inclusion rétroactive d'un salarié détaché dans le système de sécurité sociale du pays où le travail est effectué
    La jurisprudence de la Cour suprême précise que le retrait du certificat A1 par le ZUS doit être précédé d'un accord avec l'institution du lieu de travail pour être soumis rétroactivement à la législation pertinente. Dans ce contexte, l'étude aborde la procédure de retrait du certificat A1, ainsi que la question de l'accord sur la législation applicable par les institutions intéressées et de l'inclusion rétroactive du salarié détaché pour lequel le certificat A1 a été retiré dans le système concerné. Dans ce contexte, sera également présenté le problème de la protection d'un salarié détaché contre les effets d'une vérification rétrospective de la législation en l'absence de divergences quant à la législation applicable et, par conséquent, de l'absence de nécessité de conclure un accord approprié.
  • Faut-il institutionnaliser le métier de psychothérapeute ?
    Les considérations présentées dans l’article concernent la réglementation de la profession de psychothérapeute. Cette question a été analysée principalement afin de déterminer le statut juridique de la profession de lege lata indiquée. Les résultats ont confirmé qu'il n'existe aucune réglementation dans ce domaine. Le résultat a été une tentative d'évaluer si cette profession pouvait potentiellement répondre aux déterminants d'une profession libre, ainsi que en quoi cette profession diffère des professions de psychiatre et de psychologue. L'auteur analyse également la question de la liberté de choisir et d'exercer une profession, ainsi que les possibilités juridiques de limiter cette liberté - en évaluant la réglementation présentée dans le contenu. L'article décrit également une étude empirique qui montre que la grande majorité des personnes exerçant la profession de psychothérapeute et participant à l'étude ont répondu positivement à la question de savoir si les psychothérapeutes polonais ont besoin d'une réglementation légale de cette profession. À la suite de l'analyse, la nécessité d'institutionnaliser la profession de psychothérapeute a été soutenue et des conclusions de lege ferenda ont été formulées concernant la ligne d'action potentielle du législateur et les domaines qui devraient être pris en compte lors de l'élaboration d'une loi réglementant le fonctionnement de cette profession. profession.
  • "Aide à la création d'entreprise" (article 18, paragraphe 1, des droits des entrepreneurs) - règles de conformité
    L'étude examine la position de la Cour suprême, importante pour la pratique, concernant l'exonération de l'assurance sociale obligatoire pendant une période de 6 mois à compter de la date de démarrage d'une activité commerciale. La Cour suprême a clarifié les règles de calcul du délai de 60 mois visé à l'art. 18 section 1 Les droits des entrepreneurs, ce qu'on appelle « l'aide aux startups ».

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